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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 20:29

ds IMGP0347NOTRE AMI "ALAIN BOUTET vient de réaliser une superbe performance lors de L'Endurance Trail, "l'Ultra des Templiers" en (105 km et 4800m de dénivelé positif) en se classant 51ème et 16ème V1 en 13h24'59 sur plus de 500 coureurs classés !

Une semaine après avoir suivi en live, en parfait reporter ,  les coureurs de la Diagonale des fous, il va très prochainement vous faire part des belles performances de  ses compagnons d'aventure sur les différentes courses du festival des templiers ; Pascal, Widy,Stéphane, Nicolas, Brice, Catherine, Christine, Roselyne, Anne, Sylvie, Orianne !


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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 19:24

VIDEO DE XAVIER au Colorado

 

 

VIDEO DE KIKI à l'Arrivée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 14:35
centre presse banniere officielle22/10/2012 09:59 | Dernière minute | | Imprimer |
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Grand raid de la Réunion : exploit du Poitevin
Christian Baigue

Considéré comme le trail le plus difficile au monde, la Diagonale des Fous,

course de 170 km non-stop et 10.700 m de dénivelé positif du

sud au nord de l'ile de la Réunion, a été marquée par la performance

du Poitevin Christian Baigue. 307e du classement général après

49 heures et 11 minutes d'efforts, le sociétaire du PEC remporte

surtout le classement de sa catégorie V3 (60 ans et plus). Notre

confrère de France Bleu Poitou, Vincent Hulin, également du PEC,

a terminé 566e en 55 heures et 26 minutes. Cette 20e édition a été

endeuillée par la mort d'un concurrent, victime d'une chute de

30 mètes dans un ravin.

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La Nouvelle République
Vienne - Course à pied
5 Poitevins en course au Grand raid de la Réunion
19/10/2012 05:23
Les Poitevins avant le départ. Les Poitevins avant le départ.

Cinq coureurs du PEC (Poitiers Étudiants Club) ont pris le départ hier soir de la

Diagonale des Fous à la Réunion. Pour cette 20e édition, les organisateurs ont encore

corsé cette course déjà hors norme : 170 km et plus de 10.000 mètres de dénivelé !

Pour être classé, il faut arriver avant dimanche à 16 h 30. Bon courage à Jacky Quéraux,

Christian Baigue, Xavier Savatier, Jean Pierre Pouplin et Vincent Hulin

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 18:34

Six mois Vincent.jpgqu’il n’a pas plu et une tempête tropicale est annoncée. Je veux bien que cette 20ème édition soit arrosée comme il se doit mais quand même ! Après avoir longuement piétiné  aux contrôles des sacs (vérification du matériel obligatoire : frontale avec piles,grand-raid-depart-3.jpg couverture de survie, sifflet, deux bandes élasto de 2m50 chacune, de l’eau, de la nourriture, un coupe-vent) nous voici dans le sas de départ.

Trop tard pour reculer !

Kiki est sans doute noyé aux avants postes. Avec Jacky, Xavier et Jean Pierre nous organisons un sit-in, histoire de ne pas trop fatiguer nos jambes. Il est 22heures en ce jeudi, et les premières gouttes apparaissent, voilà de quoi rafraichir quelques peu nos ardeurs. Dans ce peloton ça transpire la testostérone ! 

Avec Jacky et Xavier nous partons à un bon petit rythme, histoire de s’échauffer mais de doubler des coureurs sur cette partie de route, car après, pour la montée du Volcan ça sera trop tard. Il fait nuit noire et les Réunionnais  sont nombreux et très chaleureux au bord de la route, un avant-gout de ce qui va nous attendre durant ces 170 kms.

grand-raid-depart-2.jpgMalgré notre bon tempo nous sommes un peu bloqués et parfois obligés de stopper notre progression (le phénomène de l’accordéon sur le périf, pour ceux qui connaissent).Après avoir suivi Xavier de près et de l’avoir poussé aux fesses (au sens propre si je puis dire) j’ai des fourmis dans les jambes et commence à dépasser en douceur des concurrents un peu moins rapide que moi à partir de Foc-Foc. De retour sur le plat je poursuis sur ma lancée et double des coureurs qui en grande majorité ont déjà opté pour la marche rapide. Durant de très longues minutes, je ramasse des dizaines et des dizaines de trailers. Un peu euphorique, je ne veux pas trop m’enflammer, histoire de ne pas le payer plus tard. C’est ce qui va arriver. En fait je ne m’en rends pas compte mais j’en dépasse des centaines !

ds_DIM0001--16-.jpgA la montée vers le Piton des neiges, l’eau ruisselante commence à alterner avec la boue de plus en plus présente et tiens, tiens, je commence à mon tour à me faire doubler. Cette ascension est cassante, harassante, épuisante, d’autant qu’elle n’en finit pas ! Au poste de ravitaillement suivant je me refais la cerise, avec une pincée de sel dans un verre de coca, un verre de soupe que je finis en marchant. A chaque ravito d’ailleurs, je ne m’arrête pas plus de 3 mn. (c’est toujours quelques places de gagnées non ?)

La première nuit se passe sans encombre, la progression est bonne, les sensations aussi. Je suis très concentré sur mon alimentation et mon hydratation extrêmement régulière. J’arrive à Cilaos vers 14H30, et j’apprends de la bouche de Véro et Béné (les épouses respectives de Jacky et Xavier) que je pointe dans les 800 premiers ! J’ai du mal à y croire. Alors si en plus de finir le Grand Raid je peux me situer à ce classement là…Douche au stade, massage histoire de, car finalement je n’ai pas mal aux jambes (ou alors juste l’envie de me faire tripoter, vas savoir ?) En revanche mes pieds sont « pourris », depuis la veille au soir, ils macèrent dans mes chaussettes trempées. Là rien à faire. Je mange un bout et me rapproche de Véro et Béné qui m’accompagnent quelques centaines de mètres, elles s’inquiètent un peu pour leurs hommes, ça fait un moment qu’ils n’ont pas pointé. Déjà une heure trente de pause, il me faut vraiment repartir, la montée du Taïbit, s’annonce comme un gros morceau 880 m de D+ à avaler. Petits pas à petits pas, je suis un groupe dont la progression me va bien, ça me rappelle un peu mes balades en rando où il faut être super calme et régulier pour monter jusqu’au col. ds_DIM0001--25-.jpgC’est le milieu de la nuit, il faut maintenant basculer sur Mafate et plus précisément direction Marla.

Arrivé  au poste de contrôle je suis 645ème un truc de dingue ! Voilà qui est bon pour le moral et la technique des petits pas a payé ! Fatigué  je décide (enfin) de me reposer il est 20h30. Bon faut savoir et les copains m’avaient prévenus (merci  Alain et Kiki) qu’à Marla, on ne dort pas…on essaie de dormir ! La sono est à fond, et les jeunes mafatais ne trouvent rien de mieux à faire, que de jouer au tour des tentes et se crier dessus. Je m’incruste entre deux dormeurs (ou dormeuses), juste le temps de quitter mes chaussures et de poser mon sac à dos, et sans en avoir vraiment conscience je dors profondément 30 mn. Un peu dans le gaz, je reprends « la route » direction le sentier scout, et comme je retombe sur Michel (un V3 parisien fort sympathique) croisé dans la montée du Taïbit. On discute un peu, on sympathise et on se tape donc le sentier scout  de nuit. Pas plus de 50 cm par endroit et de chaque côté le vide ! C’est très impressionnant et pour tout dire parfois flippant, le risque de chute est omniprésent et on est déjà plus très fraisds_CIL-SS-0001--50-.jpg (un coureur marseillais fera une chute mortelle non loin de là).

A roche plate, je suis 621ème c’est après que commence la célèbre ascension du Maïdo et ses 870 D+en 3km. Il est  6 heures du mat, le jour se lève et en avant Guingamp ! Dès le premier quart de la montée le soleil pointe le bout de ses rayons et mon moteur commence à surchauffer ! Il est 9heures, le soleil commence vraiment à taper. Je ne comprends pas, je commence à coincer alors que nous montons à un rythme de sénateur, et que je m’hydrate très régulièrement. Avec Michel et son copain Eric, on s’impose une pause à la moitié de l’ascension. On repart, je serre les dents, je ne suis pas au mieux, ça sera le 2ème et dernier vrai coup de bambou sur ce grand raid. (En même temps ça fait plus de 35 heures qu’on est parti…35 heures et sans RTT !)

Le ravitaillement après le sommet de tête dure est le bienvenu, malgré ma défaillance j’ai gagné une cinquantaine de places ! (d’autres doivent être au moins aussi mal que moi, certains qui étaient devant ont même abandonné). Bien remis et requinqué, je décide de repasser devant pour attaquer la longue longue descente vers Sans Souci.  Le tempo est intéressant, on court là ou beaucoup marchent, et du coup on double et on ramasse. En 4 heures de descente on gratte 25 places. Musculairement les quadriceps commencent un peu à ds_CIL-SS-0001--42-.jpgchauffer. Et bizarrement, je commence à ressentir une vieille douleur que mon cerveau avait oubliée, une petite gêne au niveau du tibia gauche. Ca me rappelle mon début de périostite il y a un mois et demi. Le mal devient de plus en plus sévère, je libère Michel qui galope comme un lapin. Au ravito de Rivières des Galets, mon grand copain Jean Pierre (et son célèbre Panama) m’attend, il a abandonné comme Jacky à Cilaos. Je me tords de douleur et mon vieux compagnon de marathon sent qu’il y a un souci. Direction la tente des kinés, le rougaille-saucisses attendra. En enlevant mon booster de mon mollet gauche, un magnifique œdème apparait. Mon tibia est très enflé, la kinée me strape, les larmes me coulent sur les joues, j’ai physiquement très mal, et j’ai du mal à encaisser que je suis blessé, il me reste (encore)  35 kms à parcourir sans pouvoir prendre appui sur mon pied gauche dans les descentes ! Mon pote Michel est reparti mais j’aperçois son copain Eric et je décide de le coller, un visage ami, un peu de réconfort, après celui de mon pote JP. Dans les montées et sur le plat ça va, dans les descentes je jongle. La nuit tombe nous sommes toujours 500 et quelques (inespéré !) Au ravito suivant je tombe sur Véro, Béné et Jacky venus me soutenir, ça fait du bien les copains merci !

Je grimace toujours autant dans les descentes, et parfois je jure même quand mon pied gauche bute sur une pierre ou accroche une racine « ça me fait mal jusque dans ma montre « ! Mon pote Eric n’est pas au mieux, il ne peut attendre d’arriver au ravito de la Possession pour dormir, il est 21 heures et on s’allonge tous les deux au détour du sentier, montre et téléphone sont programmés pour sonner une demie heure plus tard (quel repos, quel luxe !)Epuisés, nous dormons d’un sommeil profond et finalement c’est le froid qui me réveille quelques secondes avant que ne sonnent nos alarmes, il faut repartir. Cette pause improvisée nous a requinqué mais a mis en panique JP qui m’attend plus bas et qui s’inquiète de me voir arriver. Notre dodo nous coute une quarantaine de places. Tiens en parlant de dodo, j’ai demandé à JP de me trouver une bière locale (la dodo) et mission accomplie, j’avale quelques gorgées c’est un vrai bonheur (oui pour le cigare on verra plus tard !).

Sur le fameux chemin des Anglais le calvaire reprend pour moi : non seulement c’est nuit noir et il faut se concentrer pour prendre les bons appuis sur les rochers, des pierres bien disposées et bien plates qui se transforment parfois en éboulis : j’éructe ma haine anti british ! Pour me venger je fais exprès de marcher à droite ! chemin-des-anglais.jpg

Nous sommes à grande chaloupe, il est minuit et demie nous avons parcouru 156 kms, une dernière ascension vers Colorado puis une redescente vers la Redoute et c’est gagné. Une sorte de sanglot semble monter en moi, je sais que je vais y arriver que je vais toucher au but, mais non il ne faut pas craquer, ne pas imaginer maintenant l’entrée ultime sur la piste du stade et la ligne d’arrivée, rester concentré jusqu’au bout. Dernier pointage avant l’arrivée je suis 566ème. Il faut compter une heure et demie pour descendre en temps normal moi j’imagine mettre au moins deux heures et je préviens les copains présents au stade qu’ils ne s’inquiètent pas si c’est un peu long. Dans ma tête je veux rester accrocher symboliquement à l’idée de finir dans les 600 premiers, je ne peux en laisser me doubler que 43.Le chemin se fait en sous-bois, avec beaucoup de racines enchevêtrées et de pierres et rochers parfois un peu haut à franchir. Quelques trailers me doublent rapidement. Non ça ne va pas se passer comme ça. « Allez Vince donne tout ce que tu as, tout ce qui te reste ». Je m’accroche et ne cesse de jurer tellement j’ai mal, à mon tour je double des personnes en grande difficultés ou qui flippent dans cette descente technique surtout en pleine nuit.  Finalement après 1H30 de descente (pas agréable du tout et qui empêche de savourer une arrivée sereine sur le stade que l’on aperçoit durant la descente) je pointe le bout de mes XA Pro 3 D complètement défoncées sur le stade, il est 5h25 du matin, et pas encore jour, je me retourne et vois que le concurrent suivant veut m’enfumer dans les derniers mètres. Qu’à cela ne tienne, il veut jouer et bien on va jouer (les souvenirs des séances du mercredi soir à Rebeillau remontent d’un coup à la surface) je me mets à mon tour à sprinter comme un dingue. Je franchis la ligne d’arrivée après 55h 25 mn et 49 secondes, moi qui pensais mettre 55h, je suis assez satisfait (et mon classement ne change pas, je suis toujours 566ème).

Je cherche vite les copains du regard, mais ne les trouve pas. Moi qui avais souvent imaginer franchir la ligne et tomber dans leurs bras et pleurant à chaudes larmes, je me retrouve un peu comme un con au milieu de tout ce monde, personne avec qui partager cette émotion. Finalement c’est de ma faute je suis descendu beaucoup plus vite que prévu et les copains ne m’attendaient pas de sitôt. Finalement Jacky arrive suivi de Véro et Béné et JP avec son appareil photo. La médaille au tour du cou, je peux enfin savourer ma Dodo.

 

Vincent-2.jpgAlors quels enseignements tirer d’une telle aventure et qui puissent servir à ceux qui ont pris la peine de me lire et  qui crèvent d’envie à leur tour de porter le maillot « j’ai survécu à la diagonale des fous » :

  • 1. S’être entrainé : avoir cumulé des kms et des kms, mais surtout bouffer des côtes jusqu’ à plus faim, et avaler des descentes jusqu’ à plus soif (je vous donne un tuyau le terrain de motocross de Buxerolles permet de bien s’amuser dans ce genre de trucs).
  • 2. Ne pas se présenter un peu diminué physiquement ou en trainant une vieille tendinite mal soignée ou un début de périostite car c’est courir à la catastrophe.
  • 3. Avoir conscience qu’il faudra avoir mal et l’envie de finir dans la tête, passer au-delà de la souffrance, bref ne pas avoir un mental de poisson rouge.

Voilà ce récit vaut ce qu’il vaut, j’avais adoré lire celui des copains du club, j’ai d’ailleurs beaucoup pensé aux compagnons de sortie et les messages durant la course ont été sacrément bienvenus.

Un grand merci particulièrement à jean Pierre qui a eu un jour la bonne idée de m’emmener au PEC et pas dans un autre club (et qui a assuré aux différents ravitos) et bien sûr merci à kiki qui a su me donner les bons conseils, me préparer les meilleurs plans. Ce grand raid m’a permis aussi de mieux me connaitre, non pas de dépasser mes limites mais de les connaitre tout simplement.

Allez bonne course et vivement d’autres belles aventures humaines et sportives ! 

ds_CIMG2433.jpg

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 21:40

CIMG2394A Ca y est, l'aventure est terminée ;  Mon plus beau rêve vient de se réaliser, monter sur le podium du Grand Raid de la Réunion "la Diagonale des fous"

Bien sûr, ce n'est qu'en V3, et la performance reste modeste, mais pour moi c'est mon plus beau podium et ma plus belle victoire !

Cette course mythique reste pour moi la référence, la plus technique et la plus difficile dans sa catégorie mais surtout , la plus passionnante et la plus belle, où les organisateurs et le public sont chaleureux !

A la Réunion, Le Grand Raid, c'est le tour de France ou les JO. A chaque village traversé, les acclamations et les encouragements fusent ! Quelle chaleur humaine ! Lors de la remise des podiums, c'est une marée humaine! Que dire aussi des paysages traversés, le volcan, les cirques . C' est tout simplement grandiose !!!

Si mon but était de tenter d'accrocher le podium, je n'aurais jamais osé envisager la victoire ; Et pourtant elle m'a tendu les bras !

Mais cette victoire , je vous la dois à vous tous, amis, co-équipiers, famille qui m'avez encouragé, supporté par vos messages, mails, facebook, ou téléphone, certains jours et nuit. Un tel élan de soutien ne pouvait rester sans réponse et je ne devais pas vous décevoir.

Je vais essayer de répondre à chacun d'entre vous dans les prochains jours. Pour les messages par téléphone, il y aura peut être des ratés, car des petits soucis de vue m'ont fait perdre quelques messages.

Mais je dois rendre un hommage tout particulier à 2 personnes qui ont réalisé un énorme boulot. Notre ami Alain Boutet , qui pendant 3 jours a épluché et relayé les informations pour notre petits groupe, avec le même dynamisme que ne l'avais fait notre ami François pour l'UTMB ou le MDS. Pour Alain, qui avait vécu la Diago 2010 en grande partie avec moi, celà a dû lui permettre de revivre l'aventure par procuration.

Je dois également remercier vivement ma fille Céline, qui pendant toute l'épreuve m' a renseigné, à chaque poste de contrôle des écarts de temps avec mes deux plus proches concurrents. Celà m'a permis de gèrer mes pauses, mon sommeil (2 fois 30') en maintenant toujours un écart significatif

Merci Céline, tu as été l'instigatrice  de ma réussite et je te dédie cette belle victoire !!!

Je tiens également à féliciter tous mes compagnons, de club, de l'Ultramical et mes amis d'autres horizons, finishers de cette édition, vraiment hors norme, avec une pensée pour ceux qui ont raté l'aventure. Ce sera pour eux l'occasion de revenit tenter l'aventure .

Pour moi, elle s'arrêtera sur cette édition, afin de  garder intacte cette vive émotion !

Merci à tous.CIMG2443.JPG

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 13:09

CIMG2436A

 

Les Pecistes avec la médaille et le maillot "j'ai surcvécu". Vincent, christian, Xavier.

 

DSCN0311A

 

Le trophé V3 pour Christian ! Au milieu de la cheminée ça fera chouette.

 

CIMG2445

 

Pour ceux qui n'ont pas compris ma blague de ce matin, le gars en bleu c'est Kilian Jornet le vainqueur de la course.

Et le gars en jaune c'est le Kilian du Poitou !

(Le gars en vert a gagné le trophé de la plus belle moustache)

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 10:42

Une photo d'hier sur le podium du grand raid 2012.

 

A gauche notre coach vénéré, vainqueur de la diagonale des fous 2012 en V3, à droite son second sur le podium V3.

 

 

Kiki.JPG

 

 

Mais le gars en bleu au milieu c'est qui?

 

Il n'a même pas son tee shirt de finisher ! Sans doute un gars qui court pas...

Et puis vas-y que je mets ma main sur l'épaule du vainqueur comme si on se connaissait depuis toujours.

Genre je suis sur la photo avec le gagnant, incroyable....

Que fait la sécurité?

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 11:16

Xavier est finisher de la diagonale des fous!

Thierry Z aussi, il sont arrivés ensemble sur le stade.

Ils passent la ligne en 64h05mn à la 1237ème et 1238ème place.

Un grand bravo à eux qui ont flirté avec les barrières horaires hier et qui ont su reprendre du temps dans la 3ème nuit.

 

Xavier réalise l'exploit d'être le premier coureur de la Vienne (et donc du PEC) à faire le doublé Ultra Trail du Mont Blanc - Diagonale de fous la même année. (je ne parle pas de son GR20 en 5 jours cette année aussi).

Tout ça en catégorie V3, sont costauds les V3 au PEC !

 

Donc tous nos amis sont rentrés à bon port.

Encore un grand bravo à tous, une grosse pensée à ceux qui ont stoppé leur progression à Cilaos.

 

Merci à tous pour le suivi "live" de la course, je laisse la place à Christian pour les premières impressions de nos champions.

 

Alain

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 08:05

Si nous on fait dodo, à la Réunion ça avance de jour comme de nuit.

 

Bonne nouvelle ce matin, notre groupe de trois est arrivé dans la nuit.

 

Thierry Lambert est arrivé à 2h56 après 52h56mn de course il est 448ème.

Bravo Thierry qui claque une deuxième diag à son palamares!

 

Gégé Baconnet est arrivé à 4h11, 54h12 de course 511ème.

Bravo Gégé! On m'informe(un certains Thierry P) que Béruges est en ébullition, les gens sont dans la rue!

 

Vincent Hullin du PEC, qui faisait son premier ultra trail est arrivé au bout de la nuit à 5h25 après 55h26mn d'efforts il est 566ème au général.

Un nouveau finisher d'ultra trail au PEC et quel ultra trail !

Bravo Vincent qui a assuré comme un vieux briscard pour son premier ultra, 3 nuits dehors et 2journée.

Allez Vincent une bière et au lit! Tu as le droit de dormir avec ton maillot finisher.

 

A titre de comparaison Christian en 2010 était 493ème au général en 46h00(faut dire aussi qu'il était mal accompagné).

Donc pour rentrer dans les 500 cette année il faut 8h de plus!

Cela souligne l'excptionnelle difficulté de cette édition et la performance de Kiki et Christophe hier.

 

Nous avons encore deux amis en course et ils vont aller au bout.

 

Xavier s'est bagarré toute la nuit, sans doute sans dormir à cause les barrières horaires.

Il est attendu dans quelques minutes à Colorado, il lui reste 5 heures pour finir ça devrait aller malgré la chaleur.

Il est accompagne deThierry Z, ils font visiblement course commune.

Pour info, une fois à Colorado, il faut 1h15-1h30 pour arriver, si on peut encore descendre et si on est pas blessé.

 

Pour l'instant 970 fous sont arrivés à Sainte denis sur 2800 au départ., l'organisation parle de plus de 50% d'abandons.

Un classique sur ce genre d'épreuve.

 

 

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 21:13

En cliquant sur ce lien l'arrivée en direct de Christian et l'interview, premier V3 oblige:

 

Arrivée de Christian

 

Souriant, très frais, lucide, on dirait qu'il a fait ça toute sa vie.

 

Tranquille.

 

Bonne nuit Christian et ne rêve pas que tu as gagné la diagonale des fous, ce n'est plus un rêve.

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Profil

  • Kiki 86
  • FINISHER  : Diagonale des Fous à La Réunion 2002, 2007,1010 et 2012  ou je me classe 1er V3 , 2017, 2021 et 2022 avec ma fille Céline
UTMB : 2008 et 2011 
Marathon des Sables 2010
Objectif : 2023 : Senpereko Trail - Montan'Aspe - Trail des Cathares
Date de naissance : 28/08/1952
  • FINISHER : Diagonale des Fous à La Réunion 2002, 2007,1010 et 2012 ou je me classe 1er V3 , 2017, 2021 et 2022 avec ma fille Céline UTMB : 2008 et 2011 Marathon des Sables 2010 Objectif : 2023 : Senpereko Trail - Montan'Aspe - Trail des Cathares Date de naissance : 28/08/1952

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PALMARES

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WIDY GREGO "SPORTIF DE L'HUMANITAIRE"

Mes Entraineurs

Roger PASSARD : Professeur d'Education Physique et Responsable de l'ALERTE GRAYLOISE, qui de cancre en sport m' a propulsé en deux ans "Champion Départemental Minime de Cross" à PORT SUR SAÔNE

Jean-Pierre GORGEON : Co-équipier et Entraineur à l'ASPTT POITIERS m'a permis de réaliser :

  • 15'48"70 sur 5000m, le 14/06/1997 lors des Championnats Régionaux à NIORT (45ème Perf Nationale V1et 5ème M45)
  • 33'42"60 sur 10 000m le 31/05/1998 lors des Championnats de France Vétérans sur Piste à LYON PARILLY ( 21ème Perf Nationale V1 et 6ème M45)
  • 2h40'46" au Marathon le 12/10/1997 lors des Championnats de France de Marathon à REIMS (95èm Perf Nationale V1 et 31ème M45)

Jean-Claude FARINEAU : avec qui j'ai partagé depuis 1984, les charges, parfois lourdes de Dirigeant à l'ASPTT POITIERS, puis au PEC à partir de 1999. Grâce à ses entrainements judicieux, je n'ai jamais raté une qualification aux Championnats de France de 10 km

Jean-Paul GOMEZ :
Finaliste Olympique du 10 000m à MONTREAL en 1976 : Bien que ne m'ayant jamais entrainé m'a toujours apporté des conseils éclairés, notamment lorsqu'il entrainait  à mes côtés l'école d'Athlétisme de L'ASPTT